en Afghanistan" Les réponses de Cahuzac aux
Vous êtes ici
CI-DESSUS
Un neurologue italien l’affirme : la greffe de la tête sera possible d’ici deux ans. La principale difficulté liée à cette opération chirurgicale, en l’occurrence l'établissement de la continuité avec la moelle épinière, est désormais résolu par les chercheurs.
Le neurologue italien Sergio Canavero avait déjà réussi à réveiller une femme plongée depuis deux ans dans un coma végétatif. Cette fois, il assure pouvoir réussir non pas une greffe de visage ni une greffe de cerveau mais bien une greffe complète de la tête, comme il l’a expliquéau site du Matin.
La difficulté de ce genre d’opération était de reconstituer la continuité entre la tête et la moelle épinière. Mais selon le neurologue, le problème est réglé, notamment grâce à l’utilisation de matériaux chimiques qui permettent de rétablir les liens entre les fibres nerveuses.
«Sur le plan médical, nous sommes prêts. Le problème est de monter et coordonner une équipe d’une centaine de personnes pour effectuer l’opération», assure Sergio Canavero au journal suisse. Une centaine de médecins, mais aussi… 10 millions d’euros. C’est le coût estimé pour l’opération.
Qui peut « donner » sa tête ? Qui peut la recevoir ?
«Le donneur est un individu mort suite, par exemple, à un traumatisme crânien mais avec des organes sains. Le receveur, en revanche, doit être atteint d’une maladie neuromusculaire dégénérative ou être tétraplégique» explique le neurologue.
Amputée des quatres membres après une injection de mastic dans les fesses
Vidéo : il se réveille sans nez après une opération
Corée du Sud : l'esthétique passe par la chirurgie des mâchoires
CI-DESSUS
Douze ans après le début de l’intervention en Afghanistan, l’armée française s’apprête à plier bagages. Après avoir remis le contrôle de sa dernière base dans le pays aux forces afghanes, elle ne compte désormais plus que 500 hommes dans le pays, qui resteront jusqu’à la fin de l’année prochaine. Venu féliciter ce lundi les troupes, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, estime que l’armée française sort renforcée de son expérience afghane.
C’est votre cinquième déplacement en Afghanistan en l’espace d’un an. C’est important pour vous de venir à la rencontre des soldats ?
Le premier objectif de ce déplacement était de rencontrer nos forces toujours présentes sur place, afin de leur signifier que je ne les oubliais pas. Depuis six mois, on a beaucoup parlé du Mali et de l’action exceptionnelle de nos forces là-bas.
Mais, ici aussi, nos forces ont effectué une manœuvre de désengagement de grande qualité. C’était aussi un moment particulier, puisqu’après le retrait des forces combattantes avant Noël dernier, on arrivait à la fin de la période de retrait logistique.
Aujourd’hui une page se tourne, avec la présence de 500 militaires français jusqu’à la fin 2014, qui continueront à assurer des missions essentielles : formation de l’armée afghane, gestion de l’hôpital militaire et de l’aéroport international de Kaboul.
Ces missions continueront elles après 2014 ?
Elles sont appelées à durer dans le cadre du traité d’amitié franco-afghan. Ce, quelle que soit la nouvelle configuration de la coalition à partir du premier janvier 2015.
Nous tiendrons notre première réunion de la commission mixte franco-afghane sur la partie militaire du traité en octobre à Paris avec mon homologue, Bismullah Kahn.
L’armée afghane est-elle suffisamment formée pour assurer la sécurité du pays ?
L’armée afghane n’a rien à voir avec le squelette qu’elle était en 2001. Elle s’est structurée, organisée, formée, depuis la mise en place du dispositif de transition en 2011. Elle acquiert la responsabilité des différentes régions confiées jusqu’à présent à des forces de la coalition.
Elle assure sa mission avec beaucoup de détermination et de maîtrise, même s’il lui reste encore des progrès à faire, en matière de coordination ou de gestion de ses effectifs. Mais la question majeure, c’est le pouvoir politique.
Vous avez rencontré le président afghan, Hamid Karzai, lors de votre déplacement Afghanistan. Que retenez vous de cette entrevue ?
Une certaine sérénité quant au transfert de responsabilité sécuritaire aux forces afghanes et une volonté de poursuivre la relation avec la France. La solution d’avenir pour l’Afghanistan sera politique, et elle doit intégrer les talibans modérés.
Aujourd’hui, le problème est de trouver le bon cénacle pour les discussions sur la mise en œuvre de la transition politique en 2014. Je suis arrivé au moment où il y avait de vives tensions avec les Etats-Unis. Il semble qu’elles soient en voie d’apaisement.
Une attaque a visé le palais présidentiel alors que vous vous trouviez dans le pays. Etes vous inquiet quant à l’augmentation actuelle des attaques des insurgés ?
On arrive à une phase décisive, les 18 mois qui nous séparent de fin 2014. Il va y avoir l’élection présidentielle, la mutation de la présence de la coalition, la modification du statut de la coalition future.
Comme la négociation inclusive patine aujourd’hui, il y a un maintien d’actions terroristes, pendant ce qu’on appelle la saison des combats. Cela se densifie autour de Kaboul, lieu de pouvoir, par des actions qui se veulent très symboliques, médiatiques.
La dernière fois c’était l’aéroport, là le palais présidentiel. Cela justifie encore plus la solution politique.
Vous êtes optimiste pour l’avenir de l’Afghanistan ?
Si les conditions de la transition incluent les différents acteurs de l’ensemble de l’Afghanistan, il y aura un consensus sur l’organisation de l’élection présidentielle dans un premier temps, puis sur un candidat.
C’est un travail délicat, un travail de confiance pour lequel la France peut jouer sa propre partition, apporter sa propre pierre.
Que répondez vous aux critiques, notamment russes, qui estiment que la coalition quitte l’Afghanistan trop tôt ?
La Russie et la Chine s’interrogent sur la stabilité de l’Afghanistan après le départ des forces de la coalition et souhaitent qu’elles restent. C’est le cas aussi des pays voisins comme l’Ouzbékistan ou le Tadjikistan.
Il faut que tout le monde contribue à ce qu’il y ait une solution politique, qui donnera un statut à ce que sera la coalition, qui aura pour ambition la stabilisation et, éventuellement, la mise en place d’actions de contre-terrorisme.
L’armée française a-t-elle retiré des bénéfices de sa participation à l’intervention en Afghanistan ?
En termes purement techniques et opérationnels, cette mission a aguerri nos forces terrestres et renforcé l’action interarmées. Et cela a permis à l’armée française de faire partie sur la longue durée d’une coalition internationale.
L’efficacité dont elle a fait preuve au Mali, elle le doit en partie au fait qu’elle était très affutée après l’Afghanistan. Elle avait des forces motivées, professionnalisées, avec du matériel optimisé pour les opérations.
Malheureusement, cette expérience acquise en Afghanistan s’est aussi traduite par la mort de 88 soldats et par 600 militaires blessés, que je n’oublie pas.
¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤
Le pape François se prénomme ainsi en hommage à la grande humilité de François d’Assise. Et il s’avère qu’il est tellement humble qu’il ressemble trait pour trait à plusieurs de ses brebis célèbres. Jamais pape en effet n’eut autant de sosies chez les people.
from mashable.com
A peine élu, le pape – qu’il faut appeler François et non François Ier – n’est pas sans essuyer quelques polémiques. Entre le scandale de l’affaire argentine et l’histoire de ce madrilène qui avait prédit l’avènement de François plusieurs jours avant, un vent d’étrangeté souffle au-dessus du Vatican.
Mais le Vatican sans histoires sombres ne serait pas vraiment le Vatican. Sur Internet, en revanche, le vent tourne à l’humour comme presque toujours. Les internautes et autres sites américains se sont rendus compte que le nouveau pape ressemblait à un grand nombre de célébrités et ils se sont amusés à les répertorier. En voici une petite sélection.
SOSIE OR NOT SOSIE ?
- Woody Allen, sosie non officiel de François. Enfin, pour l’instant.
ENRIQUE MARCARIAN-Newscom-RTR
- Le pape a également une forte ressemblance avec l’acteur Jeffrey Tambor, dans son rôle dans la sérieArrested Development ?.
- Carl Reiner (Ocean’s Eleven) fait l’unanimité.
- L’acteur Jim Bowen est également un sosie potentiel. Seul bémol, il reste un sosie particulièrement souriant, ce qui n’est pas toujours à-propos au Vatican.
NC
- Jonathan Pryce ( Pirates des Caraïbes) partage avec François l’oeil malin et les oreilles aérées
- Judge Doom, le Juge Fou de Roger Rabbit a effectivement un air du Pape. Peut-être est-ce le contraire.
- François rappelle aussi un peu le Dr. Folamour incarné par Peter Sellers. On rappelle que deux visages qui se ressemblent n’ont pas besoin d’avoir une ressemblance d’âme pour être sosies…
- Et parce qu’Internet sans chats serait un no cat’s land inacceptable, voici un sosie auquel on ne pouvait échapper.
Si vous avez une idée de sosie en tête qui nous aurait échappé, n’hésitez pas à nous en faire part. En attendant, lequel de ces sosies mériterait d’être déclaré sosie officiel de François ?
https://www.youtube.com/watch?v=3x5-f8ZreZ4
/https%3A%2F%2Flh3.googleusercontent.com%2F-I7a6WKQxLsU%2FVaPtN9D_AmI%2FAAAAAAAAG9M%2FYLGx0krlLKs%2Fs417-p%2FWP_20150713_006%255B1%255D.jpg)
/https%3A%2F%2Fstorage.canalblog.com%2F86%2F63%2F1141430%2F96380898_o.jpg)
/https%3A%2F%2Fstorage.canalblog.com%2F95%2F96%2F1141430%2F95476474_o.jpg)
/http%3A%2F%2Fsadhillnews.com%2Fwp-content%2Fuploads%2F2011%2F11%2Fmichelle-obama-makeup-artist-15000-per-day-sad-hill-news1.jpg)